L’Afrique, invitée d’honneur 2019 au Village de la Legaltech.

Nous avons le plaisir de vous convier lors du prochain Village de la Legaltech à réfléchir aux liens entre les legaltechs françaises et africaines... notamment lors des conférences "Entreprendre dans la Legaltech en Afrique, réalités et opportunités" et "En quoi le droit continental devient une source de revenus pour les pays africains ?".

Au sortir de l’édition 2018 de notre salon, nous n’avions qu’une idée en tête : recommencer ! C’est souvent ça, l’effet d’un projet réussi : ne pas avoir envie de s’arrêter là. Recommencer, certes, mais sans nous endormir sur nos lauriers, en nous renouvelant.

Quelques indices nous avaient mis la puce à l’oreille pour nous aider à explorer de nouveaux horizons. D’abord, l’engouement autour du « Tour du monde de la Legaltech » proposé sur le site du Village de la Justice, et repris dans notre guide de la legaltech. Puis, lors du salon, c’est la présence de plusieurs visiteurs venus de l’étranger, et notamment de l’Afrique, qui nous a questionnés. Alors on a mis dans un coin de notre tête une idée : avoir l’Afrique comme « invité d’honneur » pour notre prochaine édition.

C’est fait !

Comme nous l’avait rappelé Gibran Freitas [1], s’il est difficile de parler « d’un marché africain tant les 54 pays qui le constituent présentent des situations économiques différentes », il existe « cependant des points communs avec les legal startups françaises liés au droit OHADA et à la langue.
Les différences s’illustrent par des besoins et des usages différents. Un grand nombre d’applications se concentrent sur la protection et la promotion des droits de l’Homme, sur la lutte contre la corruption et sur la diffusion de l’information.
 »

Le temps a passé, mais l’idée est restée, et n’a cessé de nous apparaître comme évidente au fur et à mesure de ce que nous avons pu lire et entendre durant l’année. Il y a, sur le continent africain, l’énergie et l’envie de développer le marché de la Legaltech.
Mais les moyens manquent parfois. En France l’accès à ces moyens est facilité, le marché est ouvert et preneur de nouvelles dynamiques. Et nous, toujours soucieux de créer des liens, nous nous proposons d’être le pont entre les deux durant notre salon, en vous proposant une conférence-débat et des échanges avec des représentants des legaltech africaines le 27 novembre 2019 de 12h00 à 13h00.

Autre conférence proposée par Lexbase, "En quoi le droit continental devient une source de revenus pour les pays africains ?" le 27 novembre 2019 à 16h.